HISTOIRES DRÔLES
HISTOIRES (qui se veulent) DRÔLES
ABSURDE
- "Connaissez-vous l'histoire du lit vertical ?"
- "Non"
- "Vous n'y perdez rien, c'est une histoire à dormir debout !".
- "Non"
- "Vous n'y perdez rien, c'est une histoire à dormir debout !".
Un gars demande à un copain :
- "Qu'est-ce que ça veut dire "I don't know" ?
- "Je ne sais pas !"
- "Qu'est-ce que ça veut dire "I don't know" ?
- "Je ne sais pas !"
Un gars ouvre son journal et il lit : "A Los Angeles, un homme est écrasé toutes les heures"
Le gars remue la tête et dit :
"Pauvre type"..
Le gars remue la tête et dit :
"Pauvre type"..
ADJUDANT
Un adjudant rassemble la compagnie et il annonce :
- "Dimanche prochain, il y a le défilé de la Victoire. S'il pleut le matin, il aura lieu l'après-midi. Et s'il pleut l'après-midi, il aura lieu la matin".
- "Dimanche prochain, il y a le défilé de la Victoire. S'il pleut le matin, il aura lieu l'après-midi. Et s'il pleut l'après-midi, il aura lieu la matin".
La voix de l'adjudant de semaine tonne dans la cour du quartier :
- "Rassemblement par ordre alphabétique, les plus petits devant".
- "Rassemblement par ordre alphabétique, les plus petits devant".
Un adjudant questionne un autre adjudant :
- " Combien peux-tu manger de pommes à jeun ?"
- "Oh ! dit l'autre, quatre..."
- "Mais non, abruti ! Dès que tu en as mangé une, tu n'es plus à jeun !"
Mortifié, le second adjudant se précipite chez un troisième, histoire de le posséder à son tour, et il lui lâche tout d'une traite :
- "Combien peux-tu manger de pommes à jeun ?"
- "Trois", dit l'autre
- "Ah ! Zut ! Si tu avais dit quatre, je t'en aurais raconté une bien bonne !"
- " Combien peux-tu manger de pommes à jeun ?"
- "Oh ! dit l'autre, quatre..."
- "Mais non, abruti ! Dès que tu en as mangé une, tu n'es plus à jeun !"
Mortifié, le second adjudant se précipite chez un troisième, histoire de le posséder à son tour, et il lui lâche tout d'une traite :
- "Combien peux-tu manger de pommes à jeun ?"
- "Trois", dit l'autre
- "Ah ! Zut ! Si tu avais dit quatre, je t'en aurais raconté une bien bonne !"
Un bidasse se plaint à l'adjudant chargé de l'intendance :
- "Mon adjudant, on nous a servi du pâté de canard au réfectoire, et je peux vous jurer qu'il n'y avait pas un gramme de canard dedans"
- "Et alors ? réplique l'adjudant. Vous avez déjà mangé des biscuits de soldat ?"
- "Euh... Oui, mon adjudant"
- "Et vous avez trouvé des soldats dedans ?"
- "Mon adjudant, on nous a servi du pâté de canard au réfectoire, et je peux vous jurer qu'il n'y avait pas un gramme de canard dedans"
- "Et alors ? réplique l'adjudant. Vous avez déjà mangé des biscuits de soldat ?"
- "Euh... Oui, mon adjudant"
- "Et vous avez trouvé des soldats dedans ?"
AFFAIRES
Cet homme d'affaires est en train de mourir lentement. Son associé se tient à côté de lui, les yeux mouillés de larmes. Et soudain le mourant sort du coma, il voit son ami ravagé par la douleur et dans un souffle, il lui confie :
- "Il faut que tu saches. Le coffre qui avait été cambriolé, c'était moi. La faillite de l'année dernière, c'était encore à cause de moi. Et même... l'amant de ta femme, c'était toujours moi."
- "Ne t'en fais pas", dit l'autre. "Tu peux mourir tranquille. L'arsenic dans les nouilles, c'était moi..."
- "Il faut que tu saches. Le coffre qui avait été cambriolé, c'était moi. La faillite de l'année dernière, c'était encore à cause de moi. Et même... l'amant de ta femme, c'était toujours moi."
- "Ne t'en fais pas", dit l'autre. "Tu peux mourir tranquille. L'arsenic dans les nouilles, c'était moi..."
AFRIQUE
Dans un village africain, au fond de la jungle, un sorcier se lamente amèrement . "On peut vraiment dire qu'on la regrette, la colonisation ! Quand les Blancs étaient là, ça faisait bouillir la marmite."
ALLEMAGNE
Un évêque allemand visite Paris, accompagné d'un chanoine français, quand tous deux voient passer une fort jolie fille.
- "Schön ! Schön !" siffle l'évêque entre ses dents.
- "Et abstinence", ajoute le chanoine.
- "Schön ! Schön !" siffle l'évêque entre ses dents.
- "Et abstinence", ajoute le chanoine.
AMERIQUE
Un légat du pape arrive aux Etats Unis et se présente chez le cardinal-archevêque de New York.
- "Oh ! le cardinal est sur la plage", répond un vicaire, "mais je vais vous y mener".
On conduit donc le légat pontifical au bord de l'eau qui voit arriver à sa rencontre un grand gaillard athlétique, bronzé, en maillot de bain rouge, qui lui tape tout de suite dans le dos.
- "Alors, vieille branche, on arrive de Rome ? Attends une minute."
Il se retourne vers la mer, où l'on voit passer une créature de rêve qui fait du ski nautique en bikini et il lui crie :
- "Hello, Molly ! On se retrouve au bar dans un quart d'heure !"
- "Heu" fait le légat de Sa Sainteté, "vous connaissez cette..."
- "Bien sûr", répond le cardinal, "c'est la Mère Supérieure des Carmélites".
- "Oh ! le cardinal est sur la plage", répond un vicaire, "mais je vais vous y mener".
On conduit donc le légat pontifical au bord de l'eau qui voit arriver à sa rencontre un grand gaillard athlétique, bronzé, en maillot de bain rouge, qui lui tape tout de suite dans le dos.
- "Alors, vieille branche, on arrive de Rome ? Attends une minute."
Il se retourne vers la mer, où l'on voit passer une créature de rêve qui fait du ski nautique en bikini et il lui crie :
- "Hello, Molly ! On se retrouve au bar dans un quart d'heure !"
- "Heu" fait le légat de Sa Sainteté, "vous connaissez cette..."
- "Bien sûr", répond le cardinal, "c'est la Mère Supérieure des Carmélites".
Un Français découvre l'Amérique. Dans une gare de l'Illinois, il avise une machine automatique portant l'inscription : Je vous dis qui vous êtes. Il glisse une pièce de 25 cents dans la fente et un haut-parleur se met en marche :
" Vous vous appelez Jules MARTIN ; vous êtes de passage dans la gare de Middlepoint ; vous faites un voyage d'agrément aux Etats Unis. vous travaillez dans une banque à Paris, rue de la Paix ; vous avez un grain de beauté sur la cuisse gauche ; vous êtes marié ; vous avez trois enfants dont un qui a la coqueluche , et vous prenez dans douze minutes le train pour Los Angeles."
- "Ca, c'est formidable, quand même", dit le gars. "Mais il doit y avoir un truc..."
Et l'idée lui vient d'essayer de tromper la machine. Il va fouiller dans la valise de sa femme, il s'enferme dans les toilettes et il s'accoutre d'une robe, d'un foulard, et d'une perruque. Puis il revient vers la machine, et remet une pièce de 25 cents.
Et la même voix luit dit :
- "Vous vous appelez toujours Jules MARTIN ; vous êtes toujours en voyage d'agrément aux Etats Unis ; vous travaillez toujours dans la même banque de la rue de la Paix ; vous avez toujours un grain de beauté sur la cuisse gauche ; vous avez toujours trois enfants dont un qui a la coqueluche, mais avec vos conneries, vous venez de rater le train pour Los Angeles, et je vous avertis qu'il n'y en a pas d'autre avant demain !"
" Vous vous appelez Jules MARTIN ; vous êtes de passage dans la gare de Middlepoint ; vous faites un voyage d'agrément aux Etats Unis. vous travaillez dans une banque à Paris, rue de la Paix ; vous avez un grain de beauté sur la cuisse gauche ; vous êtes marié ; vous avez trois enfants dont un qui a la coqueluche , et vous prenez dans douze minutes le train pour Los Angeles."
- "Ca, c'est formidable, quand même", dit le gars. "Mais il doit y avoir un truc..."
Et l'idée lui vient d'essayer de tromper la machine. Il va fouiller dans la valise de sa femme, il s'enferme dans les toilettes et il s'accoutre d'une robe, d'un foulard, et d'une perruque. Puis il revient vers la machine, et remet une pièce de 25 cents.
Et la même voix luit dit :
- "Vous vous appelez toujours Jules MARTIN ; vous êtes toujours en voyage d'agrément aux Etats Unis ; vous travaillez toujours dans la même banque de la rue de la Paix ; vous avez toujours un grain de beauté sur la cuisse gauche ; vous avez toujours trois enfants dont un qui a la coqueluche, mais avec vos conneries, vous venez de rater le train pour Los Angeles, et je vous avertis qu'il n'y en a pas d'autre avant demain !"
C'est un Vietnamien qui dit à un autre Vietnamien :
- "Ca y est ! Les Américains sont arrivés dans la lune."
- "Sans blagues ?" dit l'autre. "Tous ?"
- "Ca y est ! Les Américains sont arrivés dans la lune."
- "Sans blagues ?" dit l'autre. "Tous ?"
AMOUREUX
- Lui : "Mon amour, je t'en supplie, dis-moi que je suis vraiment le premier dans ta vie..."
- Elle : "Mais bien sûr, chéri. Je me demande ce qu'ils ont, les hommes, à poser toujours la même question".
- Elle : "Mais bien sûr, chéri. Je me demande ce qu'ils ont, les hommes, à poser toujours la même question".
ANGES
Deux anges font la causette :
- "Quel temps fera-t-il demain ?"
- "Nuageux"
- "Ah ! tant mieux ! On pourra s'asseoir".
- "Quel temps fera-t-il demain ?"
- "Nuageux"
- "Ah ! tant mieux ! On pourra s'asseoir".
ANGLETERRE
- "Vous, les Français, déclare un Lord britannique, vous ne savez pas ce que c'est que le tact. Par exemple, quand vous entrez par mégarde dans une salle de bains où se trouve une dame nue, vous refermez la porte en disant : "Pardon, Madame !"
- "Ah ? Et que faut-il faire ?"
- "Refermer la porte, bien sûr, mais dire : "Pardon, monsieur !".
- "Ah ? Et que faut-il faire ?"
- "Refermer la porte, bien sûr, mais dire : "Pardon, monsieur !".
ANNIVERSAIRE
- "C'est décidé, chérie, pour tes 50 ans, je t'offre un voyage au Kenya !"
- "Ah ça alors ! Et pour mes 60 ans, tu sais déjà ?"
- "Oui. Je reviendrai te chercher".
- "Ah ça alors ! Et pour mes 60 ans, tu sais déjà ?"
- "Oui. Je reviendrai te chercher".
ANTIQUITE
Abel rencontre son frère, et lui dit :
- "Comment ça va, Caïn ?"
- "Caha !" répond l'autre.
- "Comment ça va, Caïn ?"
- "Caha !" répond l'autre.
ARABE
Ahmed pose une charade à son ami Kader :
- "Ma première, y en a pas de première.
Ma seconde, y en a pas de seconde.
Et mon tout, y en a personne dedans !
Qu'est-ce que c'est ?"
- "Euh..."
- "Cherche pas ! C'est un train de marchandises..."
- "Ma première, y en a pas de première.
Ma seconde, y en a pas de seconde.
Et mon tout, y en a personne dedans !
Qu'est-ce que c'est ?"
- "Euh..."
- "Cherche pas ! C'est un train de marchandises..."
Dans un laboratoire médical, on a chargé un Algérien de séparer un lot de rats, en mettant les femelles d'un côté, et les mâles de l'autre.
Le lendemain, le professeur tombe en arrêt devant trois cages de rats, et il lit trois inscriptions : Mâles, Femelles, Pieds-noirs. Quand l'Algérien revient, il lui demande :
- "Qu'est-ce que c'est que ça, les rats pieds-noirs ?
Et l'autre lui dit :
- "C'est les rats pas triés".
Le lendemain, le professeur tombe en arrêt devant trois cages de rats, et il lit trois inscriptions : Mâles, Femelles, Pieds-noirs. Quand l'Algérien revient, il lui demande :
- "Qu'est-ce que c'est que ça, les rats pieds-noirs ?
Et l'autre lui dit :
- "C'est les rats pas triés".
ASSASSIN
Le président du tribunal apostrophe l'accusé :
- "Vous l'avez tuée. Qu'avez-vous à répondre ?"
- "Monsieur le président, je l'aimais, je l'aimais à la folie."
- "L'histoire est bien connue. Ce n'est pas une excuse. Je vous condamne à vingt ans."
Alors, l'avocat se penche vers l'accusé et lui glisse :
- "Rien à dire. Quand on aime, on a toujours vingt ans !"
- "Vous l'avez tuée. Qu'avez-vous à répondre ?"
- "Monsieur le président, je l'aimais, je l'aimais à la folie."
- "L'histoire est bien connue. Ce n'est pas une excuse. Je vous condamne à vingt ans."
Alors, l'avocat se penche vers l'accusé et lui glisse :
- "Rien à dire. Quand on aime, on a toujours vingt ans !"
ATROCE
- "Il y a beaucoup de mouches dans votre ferme, dit le Parisien"
- "Oh !" répond le paysan, "C'est pas grave. Quand il y en a vraiment trop, le pépé s'en charge."
- "Le pépé ? Comment ça ?"
- "Eh bien, on l'enduit de miel et toutes les mouches vont sur lui."
- "Mais c'est atroce ! Le pauvre homme doit terriblement gigoter !"
- "Non. Il est paralysé."
- "Oh !" répond le paysan, "C'est pas grave. Quand il y en a vraiment trop, le pépé s'en charge."
- "Le pépé ? Comment ça ?"
- "Eh bien, on l'enduit de miel et toutes les mouches vont sur lui."
- "Mais c'est atroce ! Le pauvre homme doit terriblement gigoter !"
- "Non. Il est paralysé."
AUTOMOBILE
C'est un bus de handicapés qui roule, et ceux-ci chantent au chauffeur :
- "Ami chauffeur, ami chauffeur si t'es champiooooooon, appuie sur le champignooooooon !"
Alors, le chauffeur, pour leur faire plaisir, accélère à 110.
Et les handicapés reprennent :
- "Ami chauffeur, ami chauffeur si t'es champiooooooon, appuie sur le champignooooooon !"
Alors, le chauffeur, pour leur faire plaisir, accélère à 130.
Et les handicapés reprennent :
- "Ami chauffeur, ami chauffeur si t'es champiooooooon, appuie sur le champignooooooon !"
Alors, le chauffeur, pour leur faire plaisir, accélère à 150, et, Paf ! Accident.
Les handicapés chantent alors :
- "Il est des nôôôôôôôtres..."
- "Ami chauffeur, ami chauffeur si t'es champiooooooon, appuie sur le champignooooooon !"
Alors, le chauffeur, pour leur faire plaisir, accélère à 110.
Et les handicapés reprennent :
- "Ami chauffeur, ami chauffeur si t'es champiooooooon, appuie sur le champignooooooon !"
Alors, le chauffeur, pour leur faire plaisir, accélère à 130.
Et les handicapés reprennent :
- "Ami chauffeur, ami chauffeur si t'es champiooooooon, appuie sur le champignooooooon !"
Alors, le chauffeur, pour leur faire plaisir, accélère à 150, et, Paf ! Accident.
Les handicapés chantent alors :
- "Il est des nôôôôôôôtres..."
C'est un Papy qui vient de s'acheter une voiture neuve. Il l'essaie sur l'autoroute puis il décide de la pousser à 160 km/heure pour voir.
Au bout d'un moment, dans le rétroviseur il s'aperçoit qu'un véhicule de gendarmerie le suit ;
il accélère !
Les gendarmes ont une voiture plus puissante et le doublent ; ils le font garer sur le côté. Le chef descend de son véhicule et lui dit :
- "160 kilomètres à l'heure !!! Non mais, ça ne va pas Pépé !!! Il me reste 30 minutes pour finir mon service ; je veux bien me montrer indulgent et passer l'éponge à condition que vous me donniez un motif que je n'ai pas l'habitude d'entendre, sinon P.V. et points en moins !"
Le Papy le regarde, réfléchit, et dit :
- "Il y a longtemps, ma femme s'est tirée avec un Gendarme, et là, quand je vous ai aperçus, je me suis dit :-Bon Dieu ! Ca y est ! Ils me la ramènent !!!"
Le Papy est reparti sans P.V.
Au bout d'un moment, dans le rétroviseur il s'aperçoit qu'un véhicule de gendarmerie le suit ;
il accélère !
Les gendarmes ont une voiture plus puissante et le doublent ; ils le font garer sur le côté. Le chef descend de son véhicule et lui dit :
- "160 kilomètres à l'heure !!! Non mais, ça ne va pas Pépé !!! Il me reste 30 minutes pour finir mon service ; je veux bien me montrer indulgent et passer l'éponge à condition que vous me donniez un motif que je n'ai pas l'habitude d'entendre, sinon P.V. et points en moins !"
Le Papy le regarde, réfléchit, et dit :
- "Il y a longtemps, ma femme s'est tirée avec un Gendarme, et là, quand je vous ai aperçus, je me suis dit :-Bon Dieu ! Ca y est ! Ils me la ramènent !!!"
Le Papy est reparti sans P.V.
De source du Parlement, on apprend que le taux limite d'alcoolémie pourrait revenir à son ancienne valeur, 0.80 g au lieu de 0.50 g/litre.
Selon les statistiques provenant des société d'assurance, depuis l'introduction du taux de 0.50 g/l, le nombre d'accidents de la route a considérablement augmenté.
En effet, une étude de ces chiffres nous montre que les hommes, après une ou deux bières, donnent le volant... à leur femme...
Je me garderai bien de donner mon avis ; je ne fais que vous transmettre cette information.
Selon les statistiques provenant des société d'assurance, depuis l'introduction du taux de 0.50 g/l, le nombre d'accidents de la route a considérablement augmenté.
En effet, une étude de ces chiffres nous montre que les hommes, après une ou deux bières, donnent le volant... à leur femme...
Je me garderai bien de donner mon avis ; je ne fais que vous transmettre cette information.
AUVERGNATS
Deux Auvergnats voient passer une voiture immatriculée "CH".
- "Tu connais, cha, toi, "CH" ? Ch'est quel pays ?"
- "Pour chûr, je connais, ch'est la Chuiche..."
- "Tu connais, cha, toi, "CH" ? Ch'est quel pays ?"
- "Pour chûr, je connais, ch'est la Chuiche..."
Une pauvre religieuse s'est perdue dans Paris. Elle entre chez un bougnat et demande :
- "Pardon, monsieur, vous ne pourriez pas me dire où c'est, l'évêché ?"
- "Bien chûr, fait le bougnat, ch'est au fond de la cour à droite..."
- "Pardon, monsieur, vous ne pourriez pas me dire où c'est, l'évêché ?"
- "Bien chûr, fait le bougnat, ch'est au fond de la cour à droite..."
AVION
Dans un Airbus A380, le commandant de bord dit à ses passagers :
-"C'est votre commandant qui vous parle. Nous perdons de l'altitude et nous n'avons pas assez de carburant pour atteindre notre destination. Nous allons donc devoir larguer tous les bagages."
L'avion regagne de l'altitude mais, une demi-heure plus tard, en reperd. La voix du commandant se fait de nouveau entendre dans les hauts parleurs :
- "C'est votre commandant qui vous parle. Nous perdons encore de l'altitude et nous ne pourrons pas atteindre notre destination sans jeter quelques passagers hors de l'avion. C'est une mauvaise solution, mais nous allons le faire d'une manière la plus honnête et démocratique possible. Nous allons donc procéder par ordre alphabétique. Commençons par la lettre A. Y a-t-il des Africains, des Antillais, des Arabes ?"
Pas de réponse.
" Alors, y a-t-il des Blacks ?"
Toujours pas de réponse.
" Y a-t-il des gens de Couleur ?"
Toujours pas de réponse.
A l'arrière de l'avion, un petit garçon demande à son père :
- "Papa, tu m'as toujours dit qu'il fallait être honnête. Tu es d'Afrique et maman des Antilles, nous sommes black et donc des gens de couleur."
- "Oui mon fils, c'est vrai. Mais aujourd'hui nous sommes des Nègres, et s'il le faut, nous serons des Zoulous...
-"C'est votre commandant qui vous parle. Nous perdons de l'altitude et nous n'avons pas assez de carburant pour atteindre notre destination. Nous allons donc devoir larguer tous les bagages."
L'avion regagne de l'altitude mais, une demi-heure plus tard, en reperd. La voix du commandant se fait de nouveau entendre dans les hauts parleurs :
- "C'est votre commandant qui vous parle. Nous perdons encore de l'altitude et nous ne pourrons pas atteindre notre destination sans jeter quelques passagers hors de l'avion. C'est une mauvaise solution, mais nous allons le faire d'une manière la plus honnête et démocratique possible. Nous allons donc procéder par ordre alphabétique. Commençons par la lettre A. Y a-t-il des Africains, des Antillais, des Arabes ?"
Pas de réponse.
" Alors, y a-t-il des Blacks ?"
Toujours pas de réponse.
" Y a-t-il des gens de Couleur ?"
Toujours pas de réponse.
A l'arrière de l'avion, un petit garçon demande à son père :
- "Papa, tu m'as toujours dit qu'il fallait être honnête. Tu es d'Afrique et maman des Antilles, nous sommes black et donc des gens de couleur."
- "Oui mon fils, c'est vrai. Mais aujourd'hui nous sommes des Nègres, et s'il le faut, nous serons des Zoulous...
BANDIT
Dans les montagnes sardes, une troupe de bandits a tendu une embuscade à un car de touristes. Le chef, tignasse et moustache au vent, hurle à ses complices :
- "Allons, vite ! Fouillez les femmes et violez les hommes.... Euh... je veux dire fouillez les hommes et violez les femmes !"
Et au fond du car, en entend la voix d'un petit jeune homme :
- "Ah ! non ! Ce qui est dit est dit !"
- "Allons, vite ! Fouillez les femmes et violez les hommes.... Euh... je veux dire fouillez les hommes et violez les femmes !"
Et au fond du car, en entend la voix d'un petit jeune homme :
- "Ah ! non ! Ce qui est dit est dit !"
BEBE
Dans le métro, une jolie dame est assise avec un joli bébé sur les genoux. En face, il y a un monsieur qui essaie d'être aimable.
- "Oh ! Qu'il est beau, ce petit", lance-t-il. "Qu'il a de jolis cheveux. Son papa devait être roux".
- "J'en sais rien, dit la fille, sèchement. Il avait gardé sa casquette".
- "Oh ! Qu'il est beau, ce petit", lance-t-il. "Qu'il a de jolis cheveux. Son papa devait être roux".
- "J'en sais rien, dit la fille, sèchement. Il avait gardé sa casquette".
BEGUE
C'est un bègue qui suit des cours d'élocution pour apprendre à parler convenablement. Au bout d'un an, il rencontre un ami qui lui demande :
- "Alors, ça marche ? Tu parles mieux maintenant ?"
Et l'autre lui lâche tout d'une traite : "Six chasseurs sachant chasser sans leurs six chiens de chasse, ce sont six chasseurs champions".
- "Formidable", fait le copain, "Tu ne bégaies plus du tout !"
- "Oui", dit le bègue, "mais tu... tututu... con... concon... comprends, c'est didi... difficile à plapla... à placer..."
- "Alors, ça marche ? Tu parles mieux maintenant ?"
Et l'autre lui lâche tout d'une traite : "Six chasseurs sachant chasser sans leurs six chiens de chasse, ce sont six chasseurs champions".
- "Formidable", fait le copain, "Tu ne bégaies plus du tout !"
- "Oui", dit le bègue, "mais tu... tututu... con... concon... comprends, c'est didi... difficile à plapla... à placer..."
BELGIQUE
Un touriste de passage en Belgique va visiter le champ de bataille de Waterloo. Pris d'un doute, il s'approche d'un passant et lui demande :
- "Dites-moi, comment faut-il prononcer : Vaterloo ou Ouaterloo ?"
- "Ouaterloo" dit l'autre.
- "Ah ! bon! Merci" dit le touriste.
Et il ajoute par politesse :
- "Il est bien beau votre pays !"
- "C'est pas mon pays", fait le gars, "Je suis là en ouacances".
- "Dites-moi, comment faut-il prononcer : Vaterloo ou Ouaterloo ?"
- "Ouaterloo" dit l'autre.
- "Ah ! bon! Merci" dit le touriste.
Et il ajoute par politesse :
- "Il est bien beau votre pays !"
- "C'est pas mon pays", fait le gars, "Je suis là en ouacances".
BIDASSE
Un colonel, à la fin de l'instruction, interroge les conscrits.
- "Qu'est-ce que la patrie ?"
- "C'est notre mère, mon colonel."
- "Très bien. Et le drapeau, qu'est-ce que c'est ?"- "Le drapeau, c'est le vêtement de la patrie !"
- "Parfait ! Et pourquoi faut-il mourir pour le drapeau ?"
Alors le soldat :
- "Eh oui ! C'est bien ce que je me demande !"
- "Qu'est-ce que la patrie ?"
- "C'est notre mère, mon colonel."
- "Très bien. Et le drapeau, qu'est-ce que c'est ?"- "Le drapeau, c'est le vêtement de la patrie !"
- "Parfait ! Et pourquoi faut-il mourir pour le drapeau ?"
Alors le soldat :
- "Eh oui ! C'est bien ce que je me demande !"
BISTROT
Un soldat est attablé à la terrasse d'un bistrot. Et comme un général vient à passer, il se dresse comme un ressort pour le saluer.
- "Bravo !" dit le général. "Mais, est-ce que vous savez quel est mon grade ?"
- "Pour sûr, mon général ! Vous êtes général."
- "Très bien ! Et qu'est-ce que ça commande, un général ?"
- Oh ! Ce que vous voudrez ! Pour moi, ce sera un autre pastis."
- "Bravo !" dit le général. "Mais, est-ce que vous savez quel est mon grade ?"
- "Pour sûr, mon général ! Vous êtes général."
- "Très bien ! Et qu'est-ce que ça commande, un général ?"
- Oh ! Ce que vous voudrez ! Pour moi, ce sera un autre pastis."
BONNE
La mère de Toto rentre chez elle et lui demande :
- "Alors ? Tu t'es bien amusé pendant mon absence avec ta petite copine ?"
- "Voui, dit Toto, on a joué au papa et la bonne".
- "Alors ? Tu t'es bien amusé pendant mon absence avec ta petite copine ?"
- "Voui, dit Toto, on a joué au papa et la bonne".
La nouvelle bonne se présente. La maîtresse de maison lui dit :
- "Vous avez de bons certificats ?"
- "Oui, Madame."
- "Vous savez faire la cuisine ?"
- "Oui, Madame."
- "Et aimez-vous les enfants ?"
- "Euh.. oui, mais cette fois-ci, j'aimerais mieux que Monsieur fasse attention."
- "Vous avez de bons certificats ?"
- "Oui, Madame."
- "Vous savez faire la cuisine ?"
- "Oui, Madame."
- "Et aimez-vous les enfants ?"
- "Euh.. oui, mais cette fois-ci, j'aimerais mieux que Monsieur fasse attention."
- "Ma femme est tombée malade ! Alors je suis obligé de tout laver dans la maison. Je lave le linge, je lave les vitres, je lave la vaisselle..."
- "Ben, et la bonne alors ?"
- "Non... La bonne, ma femme ne veut pas !"
- "Ben, et la bonne alors ?"
- "Non... La bonne, ma femme ne veut pas !"
Un petit garçon va trouver sa mère et il lui dit :
- "Il est quand même drôle, papa. Suivant qu'il te parle ou qu'il parle à la bonne, il dit les choses à l'envers."
- "Comment ça ?" demande la mère un peu inquiète.
- "Ben. Il rentre le soir. Si c'est toi qui es là il secoue son parapluie et dit : Quelle poisse ! " Et puis il te demande : Rien de nouveau ? Et tu lui dis : Non. Tandis que si c'est la bonne qui est là, il lui dit tout de suite ; Rien de nouveau ? Elle répond : Non ! Alors il dit : Quelle poisse !"
- "Il est quand même drôle, papa. Suivant qu'il te parle ou qu'il parle à la bonne, il dit les choses à l'envers."
- "Comment ça ?" demande la mère un peu inquiète.
- "Ben. Il rentre le soir. Si c'est toi qui es là il secoue son parapluie et dit : Quelle poisse ! " Et puis il te demande : Rien de nouveau ? Et tu lui dis : Non. Tandis que si c'est la bonne qui est là, il lui dit tout de suite ; Rien de nouveau ? Elle répond : Non ! Alors il dit : Quelle poisse !"
BORGNE
Une dame qui cherche un mari vient s'inscrire dans une agence matrimoniale. Elle est un peu ennuyée.
- "Comme vous voyez", dit-elle, "je suis borgne. Ca va sans doute être difficile ?"
- "Mais non !" dit l'employé, "Ne vous inquiétez pas..."
Et il inscrit sur la fiche : Deux merveilleux yeux bleus, dont un en moins.
- "Comme vous voyez", dit-elle, "je suis borgne. Ca va sans doute être difficile ?"
- "Mais non !" dit l'employé, "Ne vous inquiétez pas..."
Et il inscrit sur la fiche : Deux merveilleux yeux bleus, dont un en moins.
BOURGEOIS
Dans un petit intérieur bourgeois, le mari déclare entre la poire et le fromage :
- "C'est incroyable ce que les gens peuvent être susceptibles. On peut dire n'importe quoi, ils le prennent toujours pour eux".
Alors sa femme lui répond, le sourcil froncé :
- "C'est pour moi que tu dis ça ?"
- "C'est incroyable ce que les gens peuvent être susceptibles. On peut dire n'importe quoi, ils le prennent toujours pour eux".
Alors sa femme lui répond, le sourcil froncé :
- "C'est pour moi que tu dis ça ?"
BOXE
"C'est dégueulasse", raconte un boxeur. "Je suis allé disputer un combat à Marseille contre un champion marseillais ; mais l'arbitre aussi était marseillais. Au moment où j'ai glissé sur le tapis, il s'est mis à compter à toute vitesse ; Un, deux, trois, quatre, cinq et cinq font dix."
BUREAU
- "Monsieur le directeur, je viens vous demander une augmentation. Que dis-je, demander, je viens exiger une augmentation !"
- "Comment, mon ami, mais je vous ai déjà augmenté de 50 euros le mois dernier !"
- "Ah ! Mon Dieu, monsieur le directeur, je suis confus. Ma femme ne m'en avait pas parlé !"
- "Comment, mon ami, mais je vous ai déjà augmenté de 50 euros le mois dernier !"
- "Ah ! Mon Dieu, monsieur le directeur, je suis confus. Ma femme ne m'en avait pas parlé !"
CAMPAGNE
Un automobiliste s'est perdu dans un dédale de chemins vicinaux. Il aperçoit enfin un paysan et il le stoppe pour lui demander conseil :
- "Dites-moi, mon brave, où va cette route ?"'
- "Ben, par ici elle va à ma ferme, et par là, elle va tout droit."
- "Dites-moi, mon brave, où va cette route ?"'
- "Ben, par ici elle va à ma ferme, et par là, elle va tout droit."
Deux gosses de la campagne discutent en revenant de l'école :
- "Tu sais qui c'est l'animal le plus rapporteur ?"
- "Non"
- "Ben, c'est le cheval !"
- "Ah ! Pourquoi ?"
- "Parce que cheval dire à ma mère".
- "Tu sais qui c'est l'animal le plus rapporteur ?"
- "Non"
- "Ben, c'est le cheval !"
- "Ah ! Pourquoi ?"
- "Parce que cheval dire à ma mère".
C'est une dame qui est très vilaine. On pourrait même croire que son mari l'a achetée en pièces détachées et qu'il n'a pas su la remonter. Un jour, ils se promènent tous les deux dans la campagne et elle lui dit :
- "Ah ! là! là! C'est fou ce que j'aime la nature !"
- "Ben", grommelle-t-il entre ses dents, "t'es vraiment pas rancunière".
- "Ah ! là! là! C'est fou ce que j'aime la nature !"
- "Ben", grommelle-t-il entre ses dents, "t'es vraiment pas rancunière".
CANCRE
L'instituteur interroge un élève :
- "Et l'eau, elle bout à combien ?"
- "A quatre-vingt-dix degrés !"
Alors Toto, lance du fond de la classe :
- "C'est pas vrai ! c'est l'angle droit qui bout à quatre-vingt-dix degrés".
- "Et l'eau, elle bout à combien ?"
- "A quatre-vingt-dix degrés !"
Alors Toto, lance du fond de la classe :
- "C'est pas vrai ! c'est l'angle droit qui bout à quatre-vingt-dix degrés".
A la tribune de l'O.N.U., un délégué demande :
- "N'y aurait-il pas dans la salle un bon traducteur de français ?"
Et une voix répond :
"Oui. Je".
- "N'y aurait-il pas dans la salle un bon traducteur de français ?"
Et une voix répond :
"Oui. Je".
L'instituteur convoque le père de Toto et lui dit :
- "Votre fils est un mauvais élève, et, en plus, il est malhonnête. En composition d'histoire, il a copié sur son voisin? D'ailleurs, tenez, voilà les deux copies. Vous pouvez constater vous-même qu'on y trouve les mêmes réponses : Qui a succédé à Napoléon ? Louis XVIII !"
- "Oh ! vous savez", dit le père, "ce n'est pas une preuve que mon fils a copié. Puisque la réponse est exacte, c'est normal qu'ils aient écrit la même chose tous les deux."
- "Peut-être", rétorque l'instituteur, "mais la question suivante était : Où a-t-on exilé Napoléon ?" Et ils ont répondu tous les deux : Au château d'If !"
- "Oui, évidemment. Mais il peut arriver à deux enfants de faire la même erreur. Ca s'est déjà vu !"
- Je veux bien vous croire à la rigueur, mais attendez la troisième question : Quelle est la date de la mort de Napoléon ? Eh bien, le voisin de votre fils a répondu Je ne sais pas. Et savez-vous ce que votre fils a répondu ? Moi non plus."
- "Votre fils est un mauvais élève, et, en plus, il est malhonnête. En composition d'histoire, il a copié sur son voisin? D'ailleurs, tenez, voilà les deux copies. Vous pouvez constater vous-même qu'on y trouve les mêmes réponses : Qui a succédé à Napoléon ? Louis XVIII !"
- "Oh ! vous savez", dit le père, "ce n'est pas une preuve que mon fils a copié. Puisque la réponse est exacte, c'est normal qu'ils aient écrit la même chose tous les deux."
- "Peut-être", rétorque l'instituteur, "mais la question suivante était : Où a-t-on exilé Napoléon ?" Et ils ont répondu tous les deux : Au château d'If !"
- "Oui, évidemment. Mais il peut arriver à deux enfants de faire la même erreur. Ca s'est déjà vu !"
- Je veux bien vous croire à la rigueur, mais attendez la troisième question : Quelle est la date de la mort de Napoléon ? Eh bien, le voisin de votre fils a répondu Je ne sais pas. Et savez-vous ce que votre fils a répondu ? Moi non plus."
CATECHISME
- "Mes enfants, que faut-il faire pour que Dieu nous pardonne nos péchés ?"
Un gosse lève le doigt :
- "D'abord, il faut pécher !"
Un gosse lève le doigt :
- "D'abord, il faut pécher !"
Un vicaire fait le catéchisme à des jeunes filles :
- "Ce n'est pas moi qui vous recommanderai d'aller vous barbouiller de rouge à lèvres ! D'ailleurs, je trouve que ça a un goût affreux."
- "Ce n'est pas moi qui vous recommanderai d'aller vous barbouiller de rouge à lèvres ! D'ailleurs, je trouve que ça a un goût affreux."
Leçon de catéchisme :
- "Le premier jour, Dieu fit la terre. Le second, il fit les montagnes et les mers. Le troisième, les fleurs et les fruits. Le quatrième, les animaux. Le cinquième jour, il fabriqua l'homme. Enfin, le sixième jour, mes enfants, Dieu créa la femme."
Le curé observe un petit silence et il ajoute comme pour lui-même :
- "Evidemment, on sent la fatigue."
- "Le premier jour, Dieu fit la terre. Le second, il fit les montagnes et les mers. Le troisième, les fleurs et les fruits. Le quatrième, les animaux. Le cinquième jour, il fabriqua l'homme. Enfin, le sixième jour, mes enfants, Dieu créa la femme."
Le curé observe un petit silence et il ajoute comme pour lui-même :
- "Evidemment, on sent la fatigue."
CHEVRE
- "C'est dommage pour vos chèvres, mais votre bouc est bien malade" dit le vétérinaire à la vieille mère Mathieu. "Il a pris froid. Si vous voulez le sauver, il faut le tenir au chaud."
- "Ah bon", dit la mère Mathieu,. "Je vais le faire coucher dans mon lit."
- "Dans votre lit ? Mais vous n'avez pas peur des odeurs ?"
- "Vous inquiétez pas, il a l'habitude."
- "Ah bon", dit la mère Mathieu,. "Je vais le faire coucher dans mon lit."
- "Dans votre lit ? Mais vous n'avez pas peur des odeurs ?"
- "Vous inquiétez pas, il a l'habitude."
CIMETIERE
Un croque-mort croise un autre croque-mort dans une allée du cimetière et lui dit :
- " Viens bouffer chez moi ce soir, on mangera les restes."
- " Viens bouffer chez moi ce soir, on mangera les restes."
CLOCHARD
Un clochard se lamente :
- "Ma bonne dame, je n'ai rien mangé depuis cinq jours. Vous n'auriez pas un peu de restes ?"
- "Des restes ? Vous voulez des restes ? Est-ce que de la soupe d'hier, ça vous irait ?"
- "Oh ! Oui, madame !"
- "Alors, revenez demain."
- "Ma bonne dame, je n'ai rien mangé depuis cinq jours. Vous n'auriez pas un peu de restes ?"
- "Des restes ? Vous voulez des restes ? Est-ce que de la soupe d'hier, ça vous irait ?"
- "Oh ! Oui, madame !"
- "Alors, revenez demain."
CONCIERGE
Une concierge dialogue avec un locataire :
- "Vous savez, ma fille est à l'université. Elle apprend plusieurs langues. Elle va devenir une vraie troglodyte."
- Vous voulez dire polyglotte ?"
- "Oh ! Troglodyte, polyglotte, tout ça, c'est synagogue !"
- "Vous savez, ma fille est à l'université. Elle apprend plusieurs langues. Elle va devenir une vraie troglodyte."
- Vous voulez dire polyglotte ?"
- "Oh ! Troglodyte, polyglotte, tout ça, c'est synagogue !"
CONDAMNE A MORT
Ca fait trois fois que le couperet de la guillotine tombe; ça fait trois fois qu'il rebondit sur le cou du condamné à mort. Le juge, les avocats, l'aumônier, tout le monde s'arrache les cheveux. Le condamné, lui, est très guilleret. Il dit :
- "Vous ne vouliez pas me croire, hein, quand je vous disais que je n'étais pas coupable !"
- "Vous ne vouliez pas me croire, hein, quand je vous disais que je n'étais pas coupable !"
Un homme qui a essayé de se suicider par pendaison et qu'on a réussi à arracher à la mort à la dernière minute, va trouver le curé de sa paroisse :
- "Et maintenant, qu'est-ce que je vais faire ?"
- "Lis la Bible, mon ami" lui dit le curé, et tu retrouveras le goût de vivre."
Le malheureux ouvre la Bible et il lit :
- Va et repens-toi !"
- "Et maintenant, qu'est-ce que je vais faire ?"
- "Lis la Bible, mon ami" lui dit le curé, et tu retrouveras le goût de vivre."
Le malheureux ouvre la Bible et il lit :
- Va et repens-toi !"
Un condamné à mort est amené devant la chaise électrique. Curieux de nature, il demande :
-"Comment ça marche, cet engin ?"
Et son avocat lui répond :
- "Ne vous cassez pas la tête ! On va vous mettre au courant !"
-"Comment ça marche, cet engin ?"
Et son avocat lui répond :
- "Ne vous cassez pas la tête ! On va vous mettre au courant !"
CONFESSIONNAL
- "Mon père, je m'accuse de me regarder dans la glace plusieurs fois par jour et de me trouver belle."
- "Continuez, mon enfant ; ce n'est pas un péché, ce n'est qu'une erreur."
- "Continuez, mon enfant ; ce n'est pas un péché, ce n'est qu'une erreur."
COUPLES
Deux hommes sont à la pêche sur glace. Ils pêchent tranquillement en buvant leur bière... Presque silencieusement, afin de ne pas effrayer le poisson, Bob dit
- "Je pense que je vais divorcer d'avec ma femme ; elle ne m'a pas parlé depuis plus de 2 mois..."
Son compagnon continue lentement à boire sa bière et dit, pensivement :
- "Réfléchis bien avant de te décider : des femmes comme ça ne sont pas faciles à trouver."
- "Je pense que je vais divorcer d'avec ma femme ; elle ne m'a pas parlé depuis plus de 2 mois..."
Son compagnon continue lentement à boire sa bière et dit, pensivement :
- "Réfléchis bien avant de te décider : des femmes comme ça ne sont pas faciles à trouver."
Un couple de randonneurs à la campagne :
- La femme : "Ce paysage me laisse sans voix !"
- Le mari : "Parfait. Nous campons ici !"
- La femme : "Ce paysage me laisse sans voix !"
- Le mari : "Parfait. Nous campons ici !"
Un gars ouvre son courrier ; il devient violet et il se met à hurler :
- "Ca, alors ! Quel est le fumier qui ose m'écrire que je suis cocu ?"
- "Ben", dit sa femme, "ce doit être un de nos amis intimes. C'est obligatoirement quelqu'un qui nous connaît très bien tous les deux".
- "Ca, alors ! Quel est le fumier qui ose m'écrire que je suis cocu ?"
- "Ben", dit sa femme, "ce doit être un de nos amis intimes. C'est obligatoirement quelqu'un qui nous connaît très bien tous les deux".
CREVETTE
Une crevette, enfin, plus exactement un monsieur crevette, rentre chez lui et il trouve sa dame couchée avec son amant.
- "Nom de Dieu", fait-il. "Ca alors, c'est le bouquet !"
- "Nom de Dieu", fait-il. "Ca alors, c'est le bouquet !"
CROCODILE
Un Noir demande à un autre Noir :
- "Quelle différence y a-t-il entre un crocodile et un alligator ?"
Et comme l'autre ne répond pas, il ajoute :
- "Y en n'as pas. C'est caïman la même chose."
- "Quelle différence y a-t-il entre un crocodile et un alligator ?"
Et comme l'autre ne répond pas, il ajoute :
- "Y en n'as pas. C'est caïman la même chose."
DICTATEUR
Hitler accorde une audience à un modeste ouvrier de Berlin.
- "Mein Führer" lui dit celui-ci, "je suis venu solliciter de vous l'autorisation de changer de nom"
- "Et comment t'appelles-tu ?" demande Hitler.
- "Je m'appelle Adolf Merd !"
- "Oh ! Je comprends que ce soit difficile à porter ! Et comment voudrais-du t'appeler ?"
- "Hans Merd."
- "Mein Führer" lui dit celui-ci, "je suis venu solliciter de vous l'autorisation de changer de nom"
- "Et comment t'appelles-tu ?" demande Hitler.
- "Je m'appelle Adolf Merd !"
- "Oh ! Je comprends que ce soit difficile à porter ! Et comment voudrais-du t'appeler ?"
- "Hans Merd."
DIEU
- L'homme : Dieu ?
- Dieu : Oui ?
- L'homme : Puis-je te poser une question ?
- Dieu : Bien entendu !
- L'homme : Que représentent pour toi un million d'années ?
- Dieu : Une seconde !
- L'homme : Et un million d'euros ?
- Dieu : Un centime !
- L'homme : Peux-tu me donner un centime ?
- Dieu : Attends une seconde !
- Dieu : Oui ?
- L'homme : Puis-je te poser une question ?
- Dieu : Bien entendu !
- L'homme : Que représentent pour toi un million d'années ?
- Dieu : Une seconde !
- L'homme : Et un million d'euros ?
- Dieu : Un centime !
- L'homme : Peux-tu me donner un centime ?
- Dieu : Attends une seconde !
DOCTEUR
- "Est-ce qu'on vous a déjà fait des rayons X ?" demande le docteur.
- "Des rayons X, non", dit la fille. "Mais ultra-violée, j'ai déjà été."
- "Des rayons X, non", dit la fille. "Mais ultra-violée, j'ai déjà été."
Le médecin croise le Fernand sur la place du village.
- "Ah ! Bonjour mon brave. Ca fait longtemps que je ne vous ai pas vu !"
- "Ben" répond Fernand, "c'est normal ; c'est que j'ai été malade."
- "Ah ! Bonjour mon brave. Ca fait longtemps que je ne vous ai pas vu !"
- "Ben" répond Fernand, "c'est normal ; c'est que j'ai été malade."
EDUCATION SEXUELLE
Le père noble à son fils de dix ans :
- "Tu es grand maintenant, mon petit. Il est temps que nous ayons une petite conversation sur les choses sexuelles."
- "Oui, papa. Qu'est-ce que tu veux savoir ?"
- "Tu es grand maintenant, mon petit. Il est temps que nous ayons une petite conversation sur les choses sexuelles."
- "Oui, papa. Qu'est-ce que tu veux savoir ?"
- "Papa, qu'est-ce que ça veut dire le mot vice" ?
- "Euh ! Vice, ça veut dire... euh... Par exemple, si j'allais coucher avec la concierge, ou avec le chien, ou avec toi, eh bien, c'est ça , le vice..."
- "Ah ! Bon ! Alors, pourquoi est-ce qu'on m'a nommé vice-président des Cadets ?"
- "Euh ! Vice, ça veut dire... euh... Par exemple, si j'allais coucher avec la concierge, ou avec le chien, ou avec toi, eh bien, c'est ça , le vice..."
- "Ah ! Bon ! Alors, pourquoi est-ce qu'on m'a nommé vice-président des Cadets ?"
- "Ecoute, mon enfant" dit le père à son petit garçon de six ans, tu as dû remarquer que maman attendait un petit bébé. Eh bien, elle va grossir de plus en plus jusqu'au jour de la naissance ! Et sais-tu pourquoi tu vas avoir un petit frère ou une petite soeur ? Je vais te l'expliquer, parce que maintenant, tu es assez grand pour comprendre. Les hommes et les femmes, pour avoir des enfants, font exactement comme les animaux, comme les abeilles par exemple."
Et le père se lance dans un discours sur la fonction sexuelle chez les insectes. Au bout d'une demi-heure, à bout de souffle, il ajoute :
- "Alors, est-ce que tu as compris, maintenant, pourquoi maman est en train de grossir ?"
- "Oui", fait le môme. "Elle s'est fait piquer par une saleté de guêpe."
Et le père se lance dans un discours sur la fonction sexuelle chez les insectes. Au bout d'une demi-heure, à bout de souffle, il ajoute :
- "Alors, est-ce que tu as compris, maintenant, pourquoi maman est en train de grossir ?"
- "Oui", fait le môme. "Elle s'est fait piquer par une saleté de guêpe."
EUNUQUE
- "Vous connaissez l'histoire de l'eunuque décapité ?"
- "Non."
- "Eh bien, elle n'a ni queue ni tête... Et celle de la surprise-partie chez les eunuques, vous connaissez ?"
- "Non."
- "Eh bien, la surprise, c'est qu'il n'y avait par de parties."
- "Non."
- "Eh bien, elle n'a ni queue ni tête... Et celle de la surprise-partie chez les eunuques, vous connaissez ?"
- "Non."
- "Eh bien, la surprise, c'est qu'il n'y avait par de parties."
Un eunuque rentre chez lui tard le soir, et il est agressé par un malfaiteur qui se jette sur lui en lui criant :
- "La bourse ou la vie !"
Alors le bonhomme répond très gentiment :
- "Excusez-moi ! Je n'ai plus que des petites coupures."
- "La bourse ou la vie !"
Alors le bonhomme répond très gentiment :
- "Excusez-moi ! Je n'ai plus que des petites coupures."
EXPLORATEUR
Un gars entre dans un bistrot et dit :
- "Deux whiskies, s'il vous plaît, mais le second dans un dé à coudre."
Puis il sort de sa poche un minuscule petit bonhomme vivant, haut comme deux pommes, qui boit son whisky dans le tout petit verre. Le barman, tout à fait estomaqué, a peine à reprendre ses esprits.
- "C'est fantastique", dit-il, "Mais comment ça se fait ?"
- "C'est une affreuse histoire", fait le gars. "Lui et moi, voyez-vous, nous sommes explorateurs. Il y a un an, nous remontions l'Orénoque, et nous avons débarqué dans un petit village qui s'appelait ...Euh ?... Dis-donc, Paul, comment s'appelait ce petit village où tu as traité le sorcier de connard ?"
- "Deux whiskies, s'il vous plaît, mais le second dans un dé à coudre."
Puis il sort de sa poche un minuscule petit bonhomme vivant, haut comme deux pommes, qui boit son whisky dans le tout petit verre. Le barman, tout à fait estomaqué, a peine à reprendre ses esprits.
- "C'est fantastique", dit-il, "Mais comment ça se fait ?"
- "C'est une affreuse histoire", fait le gars. "Lui et moi, voyez-vous, nous sommes explorateurs. Il y a un an, nous remontions l'Orénoque, et nous avons débarqué dans un petit village qui s'appelait ...Euh ?... Dis-donc, Paul, comment s'appelait ce petit village où tu as traité le sorcier de connard ?"
Un explorateur arrive au Pôle Nord et il aperçoit un nègre tout nu sur un iceberg. Il lui demande :
- "Esquimau ?"
Et l'autre répond :
- "Non ! Chocolat glacé."
- "Esquimau ?"
Et l'autre répond :
- "Non ! Chocolat glacé."
EXTRA-LUCIDE
Une voyante téléphone à une autre voyante :
-"Allô ? Vous allez très bien, merci. Et moi-même ?"
-"Allô ? Vous allez très bien, merci. Et moi-même ?"
FAR-WEST
Un cow-boy revient dans son ranch. Le cheval qu'il monte, il vient de l'acheter. Il ramène aussi, en croupe, une jeune femme qu'il a épousée la veille. Comme ils avancent le long d'un ravin, le cheval glisse malencontreusement.
- "Un", dit laconiquement le cow-boy.
Et au bout de dix minutes, le cheval fait un nouvel écart.
- "Deux", dit le cow-boy.
Un peu plus loin, le cheval renâcle sur un obstacle et manque encore de perdre l'équilibre. Cette fois-ci, le cow-boy ne fait ni une ni deux ; il fait descendre sa femme et il dit :
- "Trois !"
Et il abat le cheval d'un coupe de pistolet.
La jeune mariée est horrifiée. Elle ne peut s'empêcher de protester :
- "Tout de même ! C'est un peu raide. Tu n'aurais pas dû !"
Et le cow-boy dit :
"Un !"
- "Un", dit laconiquement le cow-boy.
Et au bout de dix minutes, le cheval fait un nouvel écart.
- "Deux", dit le cow-boy.
Un peu plus loin, le cheval renâcle sur un obstacle et manque encore de perdre l'équilibre. Cette fois-ci, le cow-boy ne fait ni une ni deux ; il fait descendre sa femme et il dit :
- "Trois !"
Et il abat le cheval d'un coupe de pistolet.
La jeune mariée est horrifiée. Elle ne peut s'empêcher de protester :
- "Tout de même ! C'est un peu raide. Tu n'aurais pas dû !"
Et le cow-boy dit :
"Un !"
FILLETTE
A elles deux, elles n'ont pas plus de dix ans. Et c'est à celle qui montrera qu'elle en sait le plus.
- "Moi", dit la première fillette, "Je sais comment on fait les bébés !"
- "Ah, bon !" dit l'autre. "T'es vraiment débile. Moi, je sais comment on les fait pas."
- "Moi", dit la première fillette, "Je sais comment on fait les bébés !"
- "Ah, bon !" dit l'autre. "T'es vraiment débile. Moi, je sais comment on les fait pas."
En bordant sa petite fille dans son lit, la maman lui dit :
- "Dors bien. Et si tu as peur, appelle Maman, Papa viendra !"
- "Dors bien. Et si tu as peur, appelle Maman, Papa viendra !"
FEMME
- "Chéri, qu'est ce que tu préfères, une femme jolie ou une femme intelligente ?"
- "Ni l'une ni l'autre, chérie, tu sais bien que je n'aime que toi !"
- "Ni l'une ni l'autre, chérie, tu sais bien que je n'aime que toi !"
Un gars dit à un ami :
- "Moi, je n'ai jamais eu de chance avec les femmes. Ma première, elle est morte. Ma deuxième, elle m'a quitté. Et ma troisième : elle reste !"
- "Moi, je n'ai jamais eu de chance avec les femmes. Ma première, elle est morte. Ma deuxième, elle m'a quitté. Et ma troisième : elle reste !"
FILIATION
Un jour, une petite fille demande à sa mère :
- "Dis, maman, comment ils sont nés les tout premiers parents ?"
- "Eh bien, lui répond sa maman, c'est Dieu qui a créé les premiers parents humains : Adam et Eve. Ils ont eu des enfants qui, plus tard, sont devenus parents à leur tout, et ainsi de suite. C'est ainsi que s'est formée la famille humaine."
Deux jours plus tard, la fillette pose la même question à son père. Celui-ci lui répond :
- "Tu vois, il y a des millions d'années, les singes ont évolué lentement jusqu'à devenir les êtres humains que nous sommes aujourd'hui."
La petite fille, perplexe, retourne aussitôt voir sa mère.
- "Maman ! Comment c'est possible que tu me dises que les premiers parents ont été créés par Dieu et que Papa me dise que c'était des singes qui ont évolué ?"
La mère lui répond avec un sourire :
- "C'est très simple, ma chérie. Moi je t'ai parlé de ma famille et ton père te parlait de la sienne."
- "Dis, maman, comment ils sont nés les tout premiers parents ?"
- "Eh bien, lui répond sa maman, c'est Dieu qui a créé les premiers parents humains : Adam et Eve. Ils ont eu des enfants qui, plus tard, sont devenus parents à leur tout, et ainsi de suite. C'est ainsi que s'est formée la famille humaine."
Deux jours plus tard, la fillette pose la même question à son père. Celui-ci lui répond :
- "Tu vois, il y a des millions d'années, les singes ont évolué lentement jusqu'à devenir les êtres humains que nous sommes aujourd'hui."
La petite fille, perplexe, retourne aussitôt voir sa mère.
- "Maman ! Comment c'est possible que tu me dises que les premiers parents ont été créés par Dieu et que Papa me dise que c'était des singes qui ont évolué ?"
La mère lui répond avec un sourire :
- "C'est très simple, ma chérie. Moi je t'ai parlé de ma famille et ton père te parlait de la sienne."
Un duc fait visiter son château à un groupe de touristes et voilà qu'il repère parmi eux un jeune homme qui lui ressemble d'une façon hallucinante. Il profite d'une pause pour s'approcher de lui et il lui dit :
- "Vous avez déjà entendu parler de ma famille ?"
- "Euh ! oui", fait le gars
- "Je vois ce que c'est, dit le duc. Votre mère à dû travailler ici comme femme de chambre ?"
- "Non, dit le gars? C'est mon père qui y était jardinier !".
- "Vous avez déjà entendu parler de ma famille ?"
- "Euh ! oui", fait le gars
- "Je vois ce que c'est, dit le duc. Votre mère à dû travailler ici comme femme de chambre ?"
- "Non, dit le gars? C'est mon père qui y était jardinier !".
Un gosse entre en courant dans un commissariat de police.
- "Vite, monsieur l'agent, venez vite! Il y a un salaud qui est en train de casser la gueule à mon père".
Le flic sort dans la rue et il voit deux gars en train de se tabasser sérieusement. Il se tourne vers le gosse et lui dit :
- "Attends un peu. Je m'en vais les séparer. Lequel est ton père ?"
- "C'est que, justement, je ne sais pas, fait le gosse. C'est pour ça qu'ils se battent !"
- "Vite, monsieur l'agent, venez vite! Il y a un salaud qui est en train de casser la gueule à mon père".
Le flic sort dans la rue et il voit deux gars en train de se tabasser sérieusement. Il se tourne vers le gosse et lui dit :
- "Attends un peu. Je m'en vais les séparer. Lequel est ton père ?"
- "C'est que, justement, je ne sais pas, fait le gosse. C'est pour ça qu'ils se battent !"
FOU
Un fou sort une boîte d'allumettes de sa poche. Il en craque une : elle ne prend pas. Il en craque une autre : toujours rien. Enfin, il en craque une troisième, qui s'allume. Alors, son visage s'allume aussi, et il dit :
- "Ah ! Celle-là elle marche. Je vais pouvoir la garder."
Et il la remet dans la boîte.
- "Ah ! Celle-là elle marche. Je vais pouvoir la garder."
Et il la remet dans la boîte.
FRIC
Un gars sonne chez un copain. Il lui dit :
- "Je te parie cent euros que tu ne peux pas deviner pourquoi je suis venu te voir !"
L'autre, pas fou, il dit :
- "Tu es venu me voir pour m'emprunter de l'argent."
- "Eh bien, tu as perdu ! Tu me dois donc cent euros."
- "Je te parie cent euros que tu ne peux pas deviner pourquoi je suis venu te voir !"
L'autre, pas fou, il dit :
- "Tu es venu me voir pour m'emprunter de l'argent."
- "Eh bien, tu as perdu ! Tu me dois donc cent euros."
Le docteur se penche vers le mari et lui dit :
- "Vous savez, je vous dois la vérité. Je viens d'examiner votre femme et je ne la trouve pas bien du tout !"
- "Moi non plus, je ne la trouve pas bien" dit le mari, "mais qu'est-ce qu'elle a comme fric !"
- "Vous savez, je vous dois la vérité. Je viens d'examiner votre femme et je ne la trouve pas bien du tout !"
- "Moi non plus, je ne la trouve pas bien" dit le mari, "mais qu'est-ce qu'elle a comme fric !"
GANGSTER
Le gangster a acheté un revolver à son fils. Le môme, il ne fait ni une ni deux : il va échanger le revolver contre une belle montre en or. Quand il rentre à la maison, son père s'aperçoit de ce qui est arrivé et se met à hurler :
- "Espèce de petit imbécile ! Alors, maintenant, quand quelqu'un te dira merde, tu lui donneras l'heure ?"
- "Espèce de petit imbécile ! Alors, maintenant, quand quelqu'un te dira merde, tu lui donneras l'heure ?"
GARNEMENT
- "Demain, nous ferons une leçon sur l'électricité" dit la maîtresse à ses élèves. "Je vous demande à chacun d'apporter de chez vous un petit appareil électrique d'usage domestique pour que nous puissions faire des travaux pratiques."
El le lendemain, les mômes s'amènent à l'école avec des rasoirs électriques, des grille-pain, des fers à repasser, des séchoirs à cheveux... Il n'y a que le petit Toto qui arrive les mains vides. Et la maîtresse lui dit :
- "Eh bien, Toto, tu n'as rien apporté ?"
- "Si" dit-il "mais ce que j'ai apporté est tellement encombrant que je l'ai laissé dans la cour."
- "Ah ! Qu'est-ce que c'est ?"
- "C'est le poumon d'acier de papa !"
- "Hein ! Et ton papa n'a rien dit quand tu l'as pris ?"
- "Si, Mam'zelle, il a poussé un grand soupir."
El le lendemain, les mômes s'amènent à l'école avec des rasoirs électriques, des grille-pain, des fers à repasser, des séchoirs à cheveux... Il n'y a que le petit Toto qui arrive les mains vides. Et la maîtresse lui dit :
- "Eh bien, Toto, tu n'as rien apporté ?"
- "Si" dit-il "mais ce que j'ai apporté est tellement encombrant que je l'ai laissé dans la cour."
- "Ah ! Qu'est-ce que c'est ?"
- "C'est le poumon d'acier de papa !"
- "Hein ! Et ton papa n'a rien dit quand tu l'as pris ?"
- "Si, Mam'zelle, il a poussé un grand soupir."
GROSSESSE
Un jeune gars en blue-jean dit à une fille en mini-jupe :
- "On pourrait se coller ensemble. Si on voit que ça ne va pas plus et qu'on a fait une boulette, il sera toujours temps de se séparer."
- "D'accord", répond-elle, "mais alors, qui est-ce qui gardera la boulette ?"
- "On pourrait se coller ensemble. Si on voit que ça ne va pas plus et qu'on a fait une boulette, il sera toujours temps de se séparer."
- "D'accord", répond-elle, "mais alors, qui est-ce qui gardera la boulette ?"
HERITAGE
Une dame entre en courant chez son notaire et elle dit :
- "Maintenant que mon mari est mort, je viens tirer les choses au clair !"
- "Vous n'avez pas de veine. Il vient juste de partir déjeuner."
- "Maintenant que mon mari est mort, je viens tirer les choses au clair !"
- "Vous n'avez pas de veine. Il vient juste de partir déjeuner."
A la suite d'un accident de voiture, deux amis, coincés par la nuit, se voient dans l'obligation d'accepter l'hospitalité d'une veuve dans une maison isolée. Un an plus tard, les deux compères se rencontrent par hasard et le premier dit à l'autre :
- "J'ai reçu une lettre d'un avocat au sujet de cette vieille qui nous avait hébergés l'année dernière, tu te rappelles ?"
- "Euh ! Oui", dit l'autre en rougissant.
- "Je suppose que tu as dû lui faire des gentillesses sans me le dire ?"
- "Ben ! Oui ! C'est pas déshonorant !"
- "Et en plus, comme tu avais honte, tu t'es fait passer pour moi !"
- "Eh bien oui ! Je l'avoue. Tu ne vas pas m'en vouloir pour ça ?"
- "Pas du tout. Elle vient de mourir et elle ma laisse toute sa fortune."
- "J'ai reçu une lettre d'un avocat au sujet de cette vieille qui nous avait hébergés l'année dernière, tu te rappelles ?"
- "Euh ! Oui", dit l'autre en rougissant.
- "Je suppose que tu as dû lui faire des gentillesses sans me le dire ?"
- "Ben ! Oui ! C'est pas déshonorant !"
- "Et en plus, comme tu avais honte, tu t'es fait passer pour moi !"
- "Eh bien oui ! Je l'avoue. Tu ne vas pas m'en vouloir pour ça ?"
- "Pas du tout. Elle vient de mourir et elle ma laisse toute sa fortune."
HISTOIRE DE FRANCE
On sait que l'infortuné Félix FAURE, président de la République, rendit le dernier soupir dans les bras d'une belle dame. Un prêtre, appelé à la hâte, accourt à l'Elysée et demande :
- "Le président a-t-il encore sa connaissance ?"
- "Oh, non !", répond l'huissier, "elle vient de sortir par l'escalier de service."
- "Le président a-t-il encore sa connaissance ?"
- "Oh, non !", répond l'huissier, "elle vient de sortir par l'escalier de service."
Un jour, Dieu créa la France. Contemplant son oeuvre, il se dit :
- "Je me suis surpassé ! Cette douceur, cette mesure, cette variété, cette richesse n'existent nulle par ailleurs. C'est trop injuste pour le reste de la terre !"
Et pour rétablir l'équilibre, Dieu créa les Français."
- "Je me suis surpassé ! Cette douceur, cette mesure, cette variété, cette richesse n'existent nulle par ailleurs. C'est trop injuste pour le reste de la terre !"
Et pour rétablir l'équilibre, Dieu créa les Français."
HOPITAL
C'est un gars qui vient de passer sous un autobus. Crac ! Les deux jambes coupées. Il perd connaissance. On l'emmène à l'hôpital. Le lendemain, le médecin-chef passe la visite et il trouve le gars avec une fracture du crâne. Il dit :
- "Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Comment ça se fait ?"
- "Ben", dit le gars, "Moi, on ne m'a rien dit. Et ce matin, comme tous les matins, je me suis levé pour me laver les dents..."
- "Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Comment ça se fait ?"
- "Ben", dit le gars, "Moi, on ne m'a rien dit. Et ce matin, comme tous les matins, je me suis levé pour me laver les dents..."
ISRAEL
La scène se passe dans une école de Tel-Aviv. L'instituteur demande à un élève :
- "Qui était Moïse ?"
- "Un abruti", dit le môme, en appuyant sur les mots."
- "Hein ? Tu n'as pas honte de parler ainsi de Moïse, notre grand ancêtre ?"
- "Non ! J'ai pas honte. C'était un abruti, parce qu'après avoir passé la mer Rouge, il a tourné à gauche. S'il avait tourné à droite, c'est nous qui aurions tout le pétrole."
- "Qui était Moïse ?"
- "Un abruti", dit le môme, en appuyant sur les mots."
- "Hein ? Tu n'as pas honte de parler ainsi de Moïse, notre grand ancêtre ?"
- "Non ! J'ai pas honte. C'était un abruti, parce qu'après avoir passé la mer Rouge, il a tourné à gauche. S'il avait tourné à droite, c'est nous qui aurions tout le pétrole."
Le gouvernement israélien délibère à huis clos.
- "La situation est grave", dit le Premier ministre. "Cette guerre avec les Arabes nous met beaucoup de gens à dos. Si nous voulons en sortir, il faut faire quelque chose !"
- "C'est bien simple", dit le ministre de la Défense. Il n'y a qu'à déclarer la guerre aux Russes et aux Américains à la fois. Après la défaite, les vainqueurs feront avec nous ce qu'ils ont fait avec l'Allemagne et le Japon. Alors, nous deviendrons une grande nation, moderne, florissante et respectée ! Il n'y a qu'un ennui ..."
- "Quel ennui ?" demandent les autres en choeur.
- "Eh bien, si on gagne ?"
- "La situation est grave", dit le Premier ministre. "Cette guerre avec les Arabes nous met beaucoup de gens à dos. Si nous voulons en sortir, il faut faire quelque chose !"
- "C'est bien simple", dit le ministre de la Défense. Il n'y a qu'à déclarer la guerre aux Russes et aux Américains à la fois. Après la défaite, les vainqueurs feront avec nous ce qu'ils ont fait avec l'Allemagne et le Japon. Alors, nous deviendrons une grande nation, moderne, florissante et respectée ! Il n'y a qu'un ennui ..."
- "Quel ennui ?" demandent les autres en choeur.
- "Eh bien, si on gagne ?"
IVROGNE
Un gars arrive dans le cabinet de son médecin. Il a les mains qui n'arrêtent pas de trembler. Le toubib lui demande :
- "Vous buvez beaucoup ?"
- "Pas trop", fait le gars, "J"en renverse tellement !"
- "Vous buvez beaucoup ?"
- "Pas trop", fait le gars, "J"en renverse tellement !"
Le pasteur d'un petit village suisse croise dans la rue un de ses paroissiens particulièrement éméché. Il lui lance :
- "Encore ivre !"
Et l'autre lui réplique, tout ragaillardi :
- "Moi aussi, monsieur le pasteur."
- "Encore ivre !"
Et l'autre lui réplique, tout ragaillardi :
- "Moi aussi, monsieur le pasteur."
JALOUSIE
- Alors," hurle la femme acariâtre, "tu as pris une maîtresse ! Tu en as assez de moi !"
- "Non", répond placidement le mari, "c'est justement que je n'en ai pas assez de toi."
- "Non", répond placidement le mari, "c'est justement que je n'en ai pas assez de toi."
JESUITE
Un jésuite demande son chemin à un passant :
- "Pour aller à la cathédrale ?"
- "Oh !" fait l'autre, "je ne crois pas que vous puissiez y arriver ; c'est tout droit."
- "Pour aller à la cathédrale ?"
- "Oh !" fait l'autre, "je ne crois pas que vous puissiez y arriver ; c'est tout droit."
- "Mais enfin, mon révérend Père", dit un franciscain à un jésuite, "pourquoi répondez-vous toujours aux questions par des questions ?"
- "Et pourquoi pas ?" dit le jésuite.
- "Et pourquoi pas ?" dit le jésuite.
JEU
Un homme est devant sa télévision et contrôle le ticket de loto qu'il a joué le matin même.
Tous ses numéros sortent. Fou de joie, il crie par la fenêtre à son épouse qui se trouve de l'autre côté de la route :
- "Chérie, viens vite, nous avons gagné la cagnotte du loto"
La femme saute de joie et traverse la route. Un camion arrive et l'écrase.
Le mari :
- "Ah ! Putain, quand une journée est bonne, elle est vraiment bonne !"
Tous ses numéros sortent. Fou de joie, il crie par la fenêtre à son épouse qui se trouve de l'autre côté de la route :
- "Chérie, viens vite, nous avons gagné la cagnotte du loto"
La femme saute de joie et traverse la route. Un camion arrive et l'écrase.
Le mari :
- "Ah ! Putain, quand une journée est bonne, elle est vraiment bonne !"
JUIF
Saint Pierre convoque un juif et un catholique :
- "Vous vous êtes très bien conduits. Tellement bien, que le bon Dieu veut faire une expérience avec vous ! Vous allez ressusciter et retourner sur terre. Et vous avez même le droit de faire un voeu qui sera exaucé."
Le catholique répond :
- "Je veux avoir énormément d'argent !"
- "Accordé", dit Saint Pierre. "Et toi ?" demande-t-il en se tournant vers le juif."
- "Moi, je veux seulement connaître son adresse".
- "Vous vous êtes très bien conduits. Tellement bien, que le bon Dieu veut faire une expérience avec vous ! Vous allez ressusciter et retourner sur terre. Et vous avez même le droit de faire un voeu qui sera exaucé."
Le catholique répond :
- "Je veux avoir énormément d'argent !"
- "Accordé", dit Saint Pierre. "Et toi ?" demande-t-il en se tournant vers le juif."
- "Moi, je veux seulement connaître son adresse".
Il est drôlement futé le petit garçon de Yankel. Il n'a que six ans, mais il se débrouille comme un vrai commerçant. Son père lui dit :
- "Tes souliers sont fichus. Tiens, voilà trente euros. Va t'en acheter une autre paire. Mais fais bien attention ! Tu regardes le prix et tu ne donnes que la moitié !"
Alors, le petit garçon de Yankel court chez le marchand de chaussures, il essaie une paire et il dit :
- "C'est combien ?"
- "Soixante euros", dit le marchand.
- "Non, c'est trop cher", dit le môme, "je donne trente !"
L'autre est attendri par la pauvreté du gosse. Il répond :
- "Je te les laisse à quarante !"
- "Non ! Vingt" dit le gamin.
- "Allez ! Prends-les pour trente. J'y perds, mais je fais une bonne action."
- "Non ! Quinze."
Au bout de dix minutes de cette discussion épuisante, le marchand est exaspéré. Il s'écrie :
- "Tiens ! Prends-les, tes chaussures ! Je te les donne !"
Et le petit garçon de Yankel lui répond :
- "J'en prends deux paires."
- "Tes souliers sont fichus. Tiens, voilà trente euros. Va t'en acheter une autre paire. Mais fais bien attention ! Tu regardes le prix et tu ne donnes que la moitié !"
Alors, le petit garçon de Yankel court chez le marchand de chaussures, il essaie une paire et il dit :
- "C'est combien ?"
- "Soixante euros", dit le marchand.
- "Non, c'est trop cher", dit le môme, "je donne trente !"
L'autre est attendri par la pauvreté du gosse. Il répond :
- "Je te les laisse à quarante !"
- "Non ! Vingt" dit le gamin.
- "Allez ! Prends-les pour trente. J'y perds, mais je fais une bonne action."
- "Non ! Quinze."
Au bout de dix minutes de cette discussion épuisante, le marchand est exaspéré. Il s'écrie :
- "Tiens ! Prends-les, tes chaussures ! Je te les donne !"
Et le petit garçon de Yankel lui répond :
- "J'en prends deux paires."
KANGOUROU
- "Et ton flirt d'hier ?" demande un kangourou à un autre.
- "Ca va ! C'est dans la poche !"
- "Ca va ! C'est dans la poche !"
MALADE
- "Maman, j'ai mal aux yeux. Il faut que tu m'emmènes chez le zieutiste."
- "Mon petit, on ne dit pas un zieutiste, on dit un oculiste."
- "Mais, maman, c'est pas là que j'ai mal."
- "Mon petit, on ne dit pas un zieutiste, on dit un oculiste."
- "Mais, maman, c'est pas là que j'ai mal."
MARIAGE
Après quelques années de vie commune, un jeune homme décide de se marier avec sa petite amie. Comme il n'est pas du tout au courant des traditions, à la fin de la messe, il s'approche du curé et lui demande :
- "Excusez-moi, mon Père, je sais qu'il est dans la tradition que les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré le mariage, mais je ne sais pas ce que les gens donnent en général."
Le prêtre lui répond dans le creux de l'oreille :
- "En général, c'est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle est belle, plus la somme est élcvée."
A ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce d'un euro au curé.
Le prêtre, compatissant, lui dit :
- "Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie."
- "Excusez-moi, mon Père, je sais qu'il est dans la tradition que les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré le mariage, mais je ne sais pas ce que les gens donnent en général."
Le prêtre lui répond dans le creux de l'oreille :
- "En général, c'est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle est belle, plus la somme est élcvée."
A ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce d'un euro au curé.
Le prêtre, compatissant, lui dit :
- "Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie."
Assis sur le trottoir devant l'église, un gamin vient de voir passer le cortège d'un mariage. Alors il déclare :
- "Elle est pas idiote, la mariée. Elle est entrée avec un vieux monsieur et elle ressort avec un jeune !"
- "Elle est pas idiote, la mariée. Elle est entrée avec un vieux monsieur et elle ressort avec un jeune !"
- "Confidence pour confidence, nous avons été, ma femme et moi, merveilleusement heureux pendant vingt ans !"
- "Et ensuite ?"
- "Et ensuite, nous nous sommes rencontrés."
- "Et ensuite ?"
- "Et ensuite, nous nous sommes rencontrés."
Un jeune voyou fait des confidences à un congénère :
- "Tu sais, elle ne veut pas m'épouser, mais finalement, je ne regrette rien. Est-ce que tu te marierais, toi, avec quelqu'un de sale, débraillé et fainéant ?"
- "Non", dit l'autre.
- "Eh bien, elle non plus !"
- "Tu sais, elle ne veut pas m'épouser, mais finalement, je ne regrette rien. Est-ce que tu te marierais, toi, avec quelqu'un de sale, débraillé et fainéant ?"
- "Non", dit l'autre.
- "Eh bien, elle non plus !"
- "Moi", dit un gars,"je n'ai jamais couché avec ma femme avant le mariage ! Et toi ?"
- "Moi ? Attends que je réfléchisse ! Rappelle-moi son nom de jeune fille."
- "Moi ? Attends que je réfléchisse ! Rappelle-moi son nom de jeune fille."
MARIE-CHANTAL
La bonne de Marie-Chantal vient de perdre sa mère.
- "Quelle nouvelle désagréable", lui dit Marie-Chantal. "Et naturellement, vous y teniez ?"
- "Quelle nouvelle désagréable", lui dit Marie-Chantal. "Et naturellement, vous y teniez ?"
MARSEILLE
Dialogue entre deux marchandes de moules sur le port de Marseille :
- "Vé ! Ma belle ! Tu connais la nouvelle ?"
- "Qué nouvelle ?"
- "Eh bé ! Je marie ma fille, tu te rends compte ?"
- "Oh ! là ! putain !"
- "Non ! Pas celle-là. L'autre !"
- "Vé ! Ma belle ! Tu connais la nouvelle ?"
- "Qué nouvelle ?"
- "Eh bé ! Je marie ma fille, tu te rends compte ?"
- "Oh ! là ! putain !"
- "Non ! Pas celle-là. L'autre !"
- "Viens déjeuner avec nous au cabanon, dimanche prochain", dit Marius à Olive. "C''est pas compliqué. A la descente de l'autobus, tu prends la première à droite, tu marches tout droit. Tu traverses une petite place. Il y a une route à droite avec une boulangerie au coin et un bosquet d'oliviers. Tu ne la prends pas. Tu tournes de l'autre côté. Tu fais cent mètres. Tu tombes sur une petite maison toute jaune avec un figuier devant et tu n'as qu'à pousser la porte avec le pied."
- "Avec le pied ?" dit Olive. "Pourquoi avec le pied ?"
- "Peuchère ! Tu ne vas tout de même pas arriver à table avec les mains vides !"
- "Avec le pied ?" dit Olive. "Pourquoi avec le pied ?"
- "Peuchère ! Tu ne vas tout de même pas arriver à table avec les mains vides !"
Deux poissonnières marseillaises s'engueulent à tue-tête.
- "Salope !"
- "Traînée !"
- "Fille de putasse !"
Alors elle répond, la bouche en coeur :
- "Attention ! Ne dis pas de mal de ma maman, peuchère, que ma maman, c'est peut-être toi !"
- "Salope !"
- "Traînée !"
- "Fille de putasse !"
Alors elle répond, la bouche en coeur :
- "Attention ! Ne dis pas de mal de ma maman, peuchère, que ma maman, c'est peut-être toi !"
Une mémé marseillaise passe ses journées à broder la lettre -A- sur tout le linge de la famille.
- "Mais enfin" lui demande un jour une autre vieille, "pourquoi fais-tu toujours la lettre -A- ?"
- "Peuchère !" répond-elle. "C'est la seule lettre que je sais faire ! J'ai jamais appris le reste de l'alphabet. Et puis, de tout façon, ça tombe bien. Ma fille s'appelle Arsule. Mon gendre s'appelle Arnest. Mon petit-fils s'appelle Anri. Il n'y a que le petit dernier, ce couillon, qui s'appelle Oguste."
- "Mais enfin" lui demande un jour une autre vieille, "pourquoi fais-tu toujours la lettre -A- ?"
- "Peuchère !" répond-elle. "C'est la seule lettre que je sais faire ! J'ai jamais appris le reste de l'alphabet. Et puis, de tout façon, ça tombe bien. Ma fille s'appelle Arsule. Mon gendre s'appelle Arnest. Mon petit-fils s'appelle Anri. Il n'y a que le petit dernier, ce couillon, qui s'appelle Oguste."
Un petit Marseillais va trouver sa mère et il lui dit :
- "Maman ! C'est extraordinaire ! Je viens de voir une souris énorme ! Une souris grosse comme un hippopotame !"
Et sa mère hausse les épaules :
- "Ecoute, Titin, ça fait trente-six millions de fois que je te dis de ne pas exagérer !"
- "Maman ! C'est extraordinaire ! Je viens de voir une souris énorme ! Une souris grosse comme un hippopotame !"
Et sa mère hausse les épaules :
- "Ecoute, Titin, ça fait trente-six millions de fois que je te dis de ne pas exagérer !"
Dans les autobus urbains, au-dessus de la place du conducteur, il y a toujours une petite pancarte. Mais le texte diffère selon les endroits.
En Allemagne, on peut lire : Il est strictement interdit de parler au chauffeur.
En Italie : Il vaut mieux ne pas parler au chauffeur.
En France : Défense de parler au chauffeur.
En Israël : Il n'y a aucun intérêt à parler au chauffeur.
Et à Marseille : Il est défendu de répondre au chauffeur.
En Allemagne, on peut lire : Il est strictement interdit de parler au chauffeur.
En Italie : Il vaut mieux ne pas parler au chauffeur.
En France : Défense de parler au chauffeur.
En Israël : Il n'y a aucun intérêt à parler au chauffeur.
Et à Marseille : Il est défendu de répondre au chauffeur.
MASOCHISME
Conversation entre trois masochistes :
- "Moi, je préfère les coups de griffes !"
- "Et moi, j'aime qu'on m'attache très serré !"
- "Et moi, c'est la cravache qui me plaît. Mais, vous savez, les coups et les douleurs, ça se discute pas."
- "Moi, je préfère les coups de griffes !"
- "Et moi, j'aime qu'on m'attache très serré !"
- "Et moi, c'est la cravache qui me plaît. Mais, vous savez, les coups et les douleurs, ça se discute pas."
Le masochiste dit au sadique :
- "Fais-moi mal !"
Et le sadique lui répond :
- "Non !"
- "Fais-moi mal !"
Et le sadique lui répond :
- "Non !"
MEMOIRE
- "Docteur, je souffre de troubles de la mémoire."
- "Par exemple ! Vous souffrez de troubles de la mémoire ?"
- "Qui ça ? Moi ?"
- "Par exemple ! Vous souffrez de troubles de la mémoire ?"
- "Qui ça ? Moi ?"
MILLIARDAIRE
"En somme", demande un journaliste à un milliardaire, "qu'est-ce que l'argent vous a apporté de plus satisfaisant ?"
- "Eh bien, ma femme a arrêté de faire la cuisine."
- "Eh bien, ma femme a arrêté de faire la cuisine."
- "Donne-moi un conseil", dit un milliardaire à un de ses amis. "Je suis tombé amoureux d'une danseuse de dix-sept ans, et moi, j'en ai soixante-cinq. Est-ce que je peux lui faire croire que je n'ai que quarante-cinq ans ?"
- "Non. Dis-lui plutôt que tu en as quatre-vingt-quinze."
- "Non. Dis-lui plutôt que tu en as quatre-vingt-quinze."
MIMIQUE
(Avec les index, vous tirez sur vos paupières par le côté et vers le haut, en disant :)
- "Papa japonais !"
(Puis vous tirez sur vos paupières vers le bas en disant :)
- "Maman chinoise !
(E,fin, vous tirez sur votre paupière droite vers le bas, et sur votre paupière gauche vers le haut en déclarant ;)
- "Pauvre bébé !"
- "Papa japonais !"
(Puis vous tirez sur vos paupières vers le bas en disant :)
- "Maman chinoise !
(E,fin, vous tirez sur votre paupière droite vers le bas, et sur votre paupière gauche vers le haut en déclarant ;)
- "Pauvre bébé !"
C'est un malade qui va à Lourdes.
(Vous crispez le bras droit comme pour le raccourcir et faire comme s'il était paralysé et saisi de tremblements.)
Il s'agenouille et prie :
- "Mon Dieu, faites que mon bras redevienne comme l'autre."
(Et vous faites avec le bras gauche la même chose qu'au bras droit, rendant ainsi les deux bras invalides.)
(Vous crispez le bras droit comme pour le raccourcir et faire comme s'il était paralysé et saisi de tremblements.)
Il s'agenouille et prie :
- "Mon Dieu, faites que mon bras redevienne comme l'autre."
(Et vous faites avec le bras gauche la même chose qu'au bras droit, rendant ainsi les deux bras invalides.)
(Vous faites de droite à gauche et de gauche à droite, très rapidement, le geste du visage qui mime la lecture d'une lettre. Vous le faites beaucoup plus vite que la normale et vous vous écriez :)
- "Bon Dieu, ce qu'il écrit vite ce type !"
- "Bon Dieu, ce qu'il écrit vite ce type !"
MISSIONNAIRE
Un missionnaire débarque sur une île.
- "Bonjour, m'sieur" lui dit un petit gamin."
- "Ne m'appelle pas monsieur ! Appelle-moi mon père"
- "Oh ! Chic alors ! C'est maman qui va être contente, elle qui disait que tu ne reviendrais jamais."
- "Bonjour, m'sieur" lui dit un petit gamin."
- "Ne m'appelle pas monsieur ! Appelle-moi mon père"
- "Oh ! Chic alors ! C'est maman qui va être contente, elle qui disait que tu ne reviendrais jamais."
Un missionnaire était arrivé dans un village reculé de l'Afrique pour prêcher l'Evangile. Le matin, il n'était pas cru et le soir il était cuit.
MONSTRE
Ce pauvre garçon a le nez de travers, un bec-de-lièvre, un oeil qui dit merde à l'autre et des boutons plein la gueule. Et il se targue partout de ses succès féminins.
- "Moi", dit-il, "les femmes, elles m'ont toujours réussi !"
Alors un de ses copains lui répond :
- "Sauf ta mère."
- "Moi", dit-il, "les femmes, elles m'ont toujours réussi !"
Alors un de ses copains lui répond :
- "Sauf ta mère."
MOUSTACHE
- "Mon vieux, c'est fou ce que tu peux ressembler à ma femme !"
- "Sans blague !"
- "Parfaitement ! A part la moustache, bien entendu."
- "Mais, je n'ai pas de moustache !"
- "Ah ! Mais elle, oui."
- "Sans blague !"
- "Parfaitement ! A part la moustache, bien entendu."
- "Mais, je n'ai pas de moustache !"
- "Ah ! Mais elle, oui."
MOYEN-ÂGE
Un chevalier par en croisade et il appelle son écuyer :
- "Tiens, voilà la clef de la ceinture de chasteté de ma femme Isabelle. Si, dans dix ans, je ne suis pas de retour, tu pourras t'en servir."
Et il s'éloigne sur la route poudreuse, harnaché de pied en cap, quand, tout à coup, il voit son écuyer affolé passer le pont-levis et lui courir derrière.
- "Qu'est-ce qui arrive ?", lui dit-il. "J'ai oublié quelque chose ?"
- "Non, mais heureusement que je t'ai rattrapé", fait l'écuyer en tendant la clef, "parce que c'est pas la bonne."
- "Tiens, voilà la clef de la ceinture de chasteté de ma femme Isabelle. Si, dans dix ans, je ne suis pas de retour, tu pourras t'en servir."
Et il s'éloigne sur la route poudreuse, harnaché de pied en cap, quand, tout à coup, il voit son écuyer affolé passer le pont-levis et lui courir derrière.
- "Qu'est-ce qui arrive ?", lui dit-il. "J'ai oublié quelque chose ?"
- "Non, mais heureusement que je t'ai rattrapé", fait l'écuyer en tendant la clef, "parce que c'est pas la bonne."
Une rencontre à la cour du roi Arthur :
- "Je m'appelle Merlin."
- "Enchanté !"
- "Je m'appelle Merlin."
- "Enchanté !"
PÊCHE
C'est les vacances. Un petit employé de bureau revient de la plage et rentre à son hôtel. Et il dit à sa femme :
- "Je suis allé à la pêche aux moules. Je suis moulu !"
- "Ah, bon !" qu'elle fait. Ben demain, tu devrais aller aux coques."
- "Je suis allé à la pêche aux moules. Je suis moulu !"
- "Ah, bon !" qu'elle fait. Ben demain, tu devrais aller aux coques."
PEINTURE
Dans un pré, un peintre rencontre un berger et lui demande :
- "Est-ce que je peux peindre tes moutons ?"
- "Ah non !", dit le berger." Après, je pourrai plus vendre la laine !"
- "Est-ce que je peux peindre tes moutons ?"
- "Ah non !", dit le berger." Après, je pourrai plus vendre la laine !"
POLYTECHNICIEN
Toto demande à son père qui est polytechnicien :
- "Papa, qu'est-ce qui sucre le café : c'est le sucre ou la cuillère ?"
Le père réfléchit une minute et dit :
- "C'est la cuillère."
- "Mais alors", dit Toto, "le sucre, à quoi ça sert ?"
- "C'est pour savoir si on a assez remué."
- "Papa, qu'est-ce qui sucre le café : c'est le sucre ou la cuillère ?"
Le père réfléchit une minute et dit :
- "C'est la cuillère."
- "Mais alors", dit Toto, "le sucre, à quoi ça sert ?"
- "C'est pour savoir si on a assez remué."
PROGENITURE
Un ouvrier se présente à l'embauche. Il dit :
- "Je voudrais travailler. J'ai une femme et quatorze enfants."
Et le contremaître lui répond :
- "Oui. Et qu'est-ce que vous savez faire d'autre ?"
- "Je voudrais travailler. J'ai une femme et quatorze enfants."
Et le contremaître lui répond :
- "Oui. Et qu'est-ce que vous savez faire d'autre ?"
C'est un gars qui a dix-sept enfants. Un de ses copains lui dit :
- "Quand même ! Tu exagères. Tu pourrais au moins te retenir un peu. Est-ce que tu penses seulement à la vie que tu fais à ta femme ?"
- "Bien sûr, que j'y pense", répond le gars. "D'ailleurs, c'est sa faute à elle ! Elle est sourde."
- "Elle est sourde ? Mais qu'est-ce que ça y change qu'elle soit sourde ?"
- "Ben, le soir, après le dîner, quand on est couchés, je lui dis : Alors, on dort ou quoi ? Et elle me répond toujours : Quoi ?"
- "Quand même ! Tu exagères. Tu pourrais au moins te retenir un peu. Est-ce que tu penses seulement à la vie que tu fais à ta femme ?"
- "Bien sûr, que j'y pense", répond le gars. "D'ailleurs, c'est sa faute à elle ! Elle est sourde."
- "Elle est sourde ? Mais qu'est-ce que ça y change qu'elle soit sourde ?"
- "Ben, le soir, après le dîner, quand on est couchés, je lui dis : Alors, on dort ou quoi ? Et elle me répond toujours : Quoi ?"
PSYCHIATRE
Au bout de six mois de traitement, le psychiatre dit à son malade :
- "Eh bien ça y est ! Vous n'avez plus de complexe d'infériorité. Maintenant, vous êtes réellement inférieur."
- "Eh bien ça y est ! Vous n'avez plus de complexe d'infériorité. Maintenant, vous êtes réellement inférieur."
Un type, qui souffre depuis longtemps d'incontinence d'urine, rencontre un copain qui lui demande des nouvelles :
- "Alors, comment ça va ? Tu pisses toujours au lit ?"
- "Oh !" dit l'autre, "ça va beaucoup mieux. J'avais essayé tous les traitements possibles et imaginables sans succès. Et finalement, je suis allé voir un psychiatre. Eh bien, mon vieux, le résultat est formidable !"
- "Ah ! Bon. Alors tu ne pisses plus au lit ?"
- "Bien sûr que si ! Mais maintenant, j'en suis fier !"
- "Alors, comment ça va ? Tu pisses toujours au lit ?"
- "Oh !" dit l'autre, "ça va beaucoup mieux. J'avais essayé tous les traitements possibles et imaginables sans succès. Et finalement, je suis allé voir un psychiatre. Eh bien, mon vieux, le résultat est formidable !"
- "Ah ! Bon. Alors tu ne pisses plus au lit ?"
- "Bien sûr que si ! Mais maintenant, j'en suis fier !"
RECEPTION
Dans un salon parisien, un monsieur très poli répond à une question que vient de lui poser la maîtresse de maison :
- "Non, madame ! Si je regarde l'heure tout le temps, ce n'est pas parce que je suis mal élevé, c'est parce que je m'emmerde."
- "Non, madame ! Si je regarde l'heure tout le temps, ce n'est pas parce que je suis mal élevé, c'est parce que je m'emmerde."
RESTAURANT
- "Garçon, donnez-moi deux sandwiches à la saucisse, dont un sans moutarde."
- "Mais certainement, monsieur. Lequel ?"
- "Mais certainement, monsieur. Lequel ?"
RETOUR D'ÂGE
Il paraît qu'une femme passe par sept âges différents : bébé, gamine, adolescente, jeune femme, jeune femme, jeune femme et jeune femme.
- "Chéri", dit la dame, qui a un retour de tendresse, "tu ne m'aimes plus comme avant. Il y a vingt ans, en sortant de table, tu me caressais gentiment le menton."
- "Oui", dit-il sans lâcher son journal, "mais à l'époque, tu n'en avais qu'un !"
- "Oui", dit-il sans lâcher son journal, "mais à l'époque, tu n'en avais qu'un !"
ROULEAU COMPRESSEUR
Un journaliste téléphone à son rédacteur en chef :
- "Le nom du type qui est mort sous le rouleau compresseur, c'est Kimschildwiczdreff.
- "Ah, bon ! Et comment s'appelait-il avant l'accident ?"
- "Le nom du type qui est mort sous le rouleau compresseur, c'est Kimschildwiczdreff.
- "Ah, bon ! Et comment s'appelait-il avant l'accident ?"
SNOB
Gladys revient du Louvre. Elle fait ses confidences à Marie-Chantal :
- "J'ai vu un amour de Titien !"
- "Ah ! oui" dit Marie-Chantal, "quelle race ?"
- "J'ai vu un amour de Titien !"
- "Ah ! oui" dit Marie-Chantal, "quelle race ?"
STARLETTE
Une starlette arrive dans un hôtel et elle doit remplir une fiche d'identité. Elle écrit son nom, son prénom, et puis elle voit marquée la mention sexe. Elle se gratte le front et puis elle écrit : Blond.
TESTAMENT
C'est un gars que sa maman a brimé pendant toute son enfance. Et puis ce sont les maîtres d'école qui lui ont fait la loi. Après quoi, il s'est marié, contraint et forcé, avec une épouvantable virago qui l'a mené à la baguette. Un jour, il finit par claquer du bec. On ouvre son testament et on lit :
- Voici mes premières volontés."
- Voici mes premières volontés."
TOURISME
- "Ca s'est bien passé, tes vacances ?"
- "Pas mal ! J'étais en Bretagne. Il pleuvait tellement que je suis reparti en Auvergne. Alors là, il s'est mis à tomber des cordes. Mais le changement d'eau m'a fait du bien."
- "Pas mal ! J'étais en Bretagne. Il pleuvait tellement que je suis reparti en Auvergne. Alors là, il s'est mis à tomber des cordes. Mais le changement d'eau m'a fait du bien."
TRAIN
Pendant que le train roule, il se trouve par hasard que tous les voyageurs du compartiment ont acheté le même journal et qu'ils font la même grille de mots croisés. Un monsieur se penche vers sa femme et il lui demande :
- "Qu'est-ce qui a sept lettres, qui finit par ouille, et qui répond à la définition : se vide quand le coup est tiré ?"
Sa femme réfléchit une minute et elle dit :
- "Ben, c'est douille, bien sûr."
Alors, dans un coin près de la fenêtre, un curé sursaute et il murmure timidement :
- "Quelqu'un n'a pas une gomme ?"
- "Qu'est-ce qui a sept lettres, qui finit par ouille, et qui répond à la définition : se vide quand le coup est tiré ?"
Sa femme réfléchit une minute et elle dit :
- "Ben, c'est douille, bien sûr."
Alors, dans un coin près de la fenêtre, un curé sursaute et il murmure timidement :
- "Quelqu'un n'a pas une gomme ?"
TRAVAIL
Un employé d'une grande entreprise prend le téléphone et dit :
- "Allô ! Ma poule, lève ton joli petit cul et monte-moi un café et un croissant, et plus vite que ça ma belle !"
A l'autre bout du téléphone, une voix très masculine répond :
- "Abruti, tu t'es trompé de numéro. Sais-tu à qui tu parles ? Au Directeur Général."
Et l'employé lui dit :
- "Et toi, enfoiré, tu sais à qui tu parles ?"
Le Directeur Général rétorque :
- "Non !"
El l'employé répond "Ouf !", et il raccroche.
- "Allô ! Ma poule, lève ton joli petit cul et monte-moi un café et un croissant, et plus vite que ça ma belle !"
A l'autre bout du téléphone, une voix très masculine répond :
- "Abruti, tu t'es trompé de numéro. Sais-tu à qui tu parles ? Au Directeur Général."
Et l'employé lui dit :
- "Et toi, enfoiré, tu sais à qui tu parles ?"
Le Directeur Général rétorque :
- "Non !"
El l'employé répond "Ouf !", et il raccroche.
- "Chef, pourrais-je quitter le bureau trois heures plus tôt, pour pouvoir aller faire du shopping avec ma femme ?"
- "Il n'en est pas question !"
- "Merci chef ; je savais que vous ne me laisseriez pas tomber !"
- "Il n'en est pas question !"
- "Merci chef ; je savais que vous ne me laisseriez pas tomber !"
TREIZE
La duchesse de Beaumanoir donne un souper de quatorze couverts. Mais à la dernière minute, un invité se décommande. La duchesse, qui est très superstitieuse, ne veut pas d'une table où l'on se retrouve à treize. En désespoir de cause, elle téléphone au colonel qui commande la garnison et elle lui dit :
- "Colonel, il faut absolument que vous m'envoyiez un de vos plus beaux officiers en tenue de gala pour ce soir"
- "Mais certainement, madame, et croyez que je suis très honoré de pouvoir vous rendre ce service".
- "Comme c'est gentil de votre part, dit la duchesse. Je vous assure que vous m'enlevez une sérieuse épine du pied. Ah ! mon Dieu ! J'oubliais de vous dire quelque chose d'un peu délicat. Surtout, ne m'envoyez pas un officier juif ! Nous ne pouvons pas supporter ces gens-là ici".
- "Mais n'ayez crainte, madame, dit le colonel".
Et le soir, à huit heures très précises, un magnifique lieutenant sénégalais se présente à la porte du salon.
- "Dieu du ciel, dit la duchesse en se précipitant vers lui, mais ce n'est pas possible ! Le colonel a dû se tromper..."
- "Oh non, madame, le colonel Lévy ne se trompe jamais !".
- "Colonel, il faut absolument que vous m'envoyiez un de vos plus beaux officiers en tenue de gala pour ce soir"
- "Mais certainement, madame, et croyez que je suis très honoré de pouvoir vous rendre ce service".
- "Comme c'est gentil de votre part, dit la duchesse. Je vous assure que vous m'enlevez une sérieuse épine du pied. Ah ! mon Dieu ! J'oubliais de vous dire quelque chose d'un peu délicat. Surtout, ne m'envoyez pas un officier juif ! Nous ne pouvons pas supporter ces gens-là ici".
- "Mais n'ayez crainte, madame, dit le colonel".
Et le soir, à huit heures très précises, un magnifique lieutenant sénégalais se présente à la porte du salon.
- "Dieu du ciel, dit la duchesse en se précipitant vers lui, mais ce n'est pas possible ! Le colonel a dû se tromper..."
- "Oh non, madame, le colonel Lévy ne se trompe jamais !".
VEUVAGE
Conversation recueillie dans un dîner mondain :
- "Savez-vous que, si l'on en croit les statistiques, les femmes vivent plus longtemps que les hommes ?"
- "Oui", répond une vieille dame, "surtout les veuves."
- "Savez-vous que, si l'on en croit les statistiques, les femmes vivent plus longtemps que les hommes ?"
- "Oui", répond une vieille dame, "surtout les veuves."
- "Dis, maman", demande Toto, "une vieille fille, c'est la veuve d'un célibataire ?"
VIERGE
Une petite fille va pour la première fois à la messe. Au retour, sa mère lui demande :
- "Qu'est-ce que tu as préféré à l'église ?"
Et elle répond :
- "La statue de la Vierge. Je voudrais bien être une vierge !"
- "Et pourquoi ?"
- "Pour avoir un enfant."
- "Qu'est-ce que tu as préféré à l'église ?"
Et elle répond :
- "La statue de la Vierge. Je voudrais bien être une vierge !"
- "Et pourquoi ?"
- "Pour avoir un enfant."
Parmi les enfants de Marie, il y a une jeune fille tellement laide que les autres lui ont dit :
- "Sais-tu ce qui t'arrivera plus tard ?"
Elle a demandé :
- "Quoi ?"
Et elles ont répondu :
- "Rien !"
- "Sais-tu ce qui t'arrivera plus tard ?"
Elle a demandé :
- "Quoi ?"
Et elles ont répondu :
- "Rien !"
VISON
Un couple se promène dans la rue. La femme s'arrête devant une vitrine pleine de manteaux de vison et elle se met à trembler comme une feuille morte. Alors le mari lui dit :
- "Tu as froid, chérie ? Viens, je vais te payer des marrons chauds."
- "Tu as froid, chérie ? Viens, je vais te payer des marrons chauds."
VOLUPTE
C'est un homme qui prend ses jambes à son coup et qui se jette sur une femme... Non... pardon, ce n'est pas cela. C'est un homme qui se jette sur un femme et qui prend ses jambes à son cou."
ZOO
Le taureau et le hibou ont passé la nuit à boire. Ils ont fait toutes les boîtes du quartier. Vers quatre heures du matin, le taureau dit au hibou :
- "Il faut que je rentre ou je vais me faire engueuler. Parce que toi, ta femme est chouette ! Mais la mienne..."
- "Il faut que je rentre ou je vais me faire engueuler. Parce que toi, ta femme est chouette ! Mais la mienne..."